Casting figurants H/F pour un téléfilm "12 ans, 7 mois et 11 jours", réalisé par Alexandre Coffre, la production recherche :
Des figurants femmes et hommes entre 20 et 75 ans toutes origines pour de la figuration à Epinal (88) et sa région entre le 5 et le 23 décembre prochain.
Le cachet est de 88,56 € + heures supplémentaires si nous en faisons.
Merci d’envoyer vos photos et coordonnées complètes (sans oublier le numéro de téléphone)
via l'adresse mail indiqué ci-dessous, en précisant « figuration Epinal » en objet.
Dites nous aussi si vous avez déjà une expérience en figuration / Silhouette.
Précisez si vous avez un véhicule.
La production aura aussi besoin de quelques voitures, kangoo et camionnettes. Si vous avez ces modèles le préciser également dans votre candidature à l'adresse mail ci-dessous indiquée.
Il s'agit en outre d'une adaptation du Livre de Lorris Murrail · 2015 (France)Genres : Jeunesse, Roman
Une cabane perdue dans les forêts du Maine. C'est là que Walden est abandonné par son père. À partir de maintenant, le garçon va devoir se débrouiller pour survivre dans les bois. Avec pour seule richesse quelques boîtes de conserve, un livre de Thoreau et une carabine. À la fin de chaque journée, Walden note son âge sur une écorce de rondin. Douze ans, sept mois et quatre jours, au moment où commence son apprentissage pour le moins étrange...
Alexandre Coffre s’illustre dans un premier temps dans la publicité en tant que directeur artistique durant sept années, au cours desquelles il réalise quelques films publicitaires. En 2004, il se consacre à la fiction et tourne le court-métrage de six minutes, Tarif unique, avec Mathieu Demy.
Il faut alors attendre sept ans avant de voir le jeune cinéaste réaliser et écrire son premier long-métrage, Une pure affaire, adaptée de la nouvelle de Matthew Kneale “Powder”, qui met en scène l’humoriste belge François Damiens et le très à la mode Laurent Lafitte. La comédie, qui rencontre un franc succès critique, pousse Alexandre Coffre à se consacrer au cinéma. Il écrit et réalise donc l’année suivante un second court-métrage, toujours sur le ton de la comédie, Quitte ou double.
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