L’acteur, humoriste et comédien Didier Bourdon

Didier Bourdon est un comédien, humoriste et acteur français né le 22 janvier 1959 à Alger. En 1962 sa famille doit retourner en France. Ils bougeront beaucoup, allant de Paris à Biarritz, en passant par Mulhouse. Ça dépendait du travail du paternel, alors agent EDF.

Piqué par la fièvre théâtrale très jeune, il prit des cours à Saint-Germain-en-Laye. Désireux de monter sur les planches, Didier Bourdon entra ensuite au Conservatoire national supérieur d’art dramatique.

Carrière de Didier Bourdon acteur et comédien

Installé dans la capitale, il débuta dans l’émission  » Le Théâtre de Bouvard « . Il avait en effet été repéré par Philippe Bouvard, le créateur, qui lui proposa de jouer pour son programme.

Il y rencontra alors un certain Smaïn, un dénommé Seymour Brussel, mais surtout les futures stars Pascal Légitimus et Bernard Campan.

Tous les cinq, ils forment un groupe d’humoristes appelé… » Les cinq « . Bon, ils n’ont pas gardé ce nom longtemps. Smaïn fut le premier à partir, pour tenter une carrière solo. Ils devinrent donc  » Les cat car and co « . Puis Seymour Brussel partit aussi.

Alors ne restèrent que Didier Bourdon, Pascal Légitimus et Bernard Campan. Il fallait rechanger de nom. Paf,  » Les Inconnus « , ça sonne bien. Un nom plutôt ironique, au vu de ce qui les attendait.

Ils rencontrèrent Paul Lederman, leur producteur, qui leur permit de lancer leur carrière. Ils décrochèrent un Molière du rire 1991.

Malheureusement ce fut ce même Paul Lederman qui fut à l’origine de leur séparation. En raison de problèmes contractuel, il leur interdit de se produire sous l’étiquette des  » Inconnus « . Il détenait en effet les droits sur ce nom. Cela fit exploser le trio.

Après Les Inconnus

Didier Bourdon ne se laissa pas démonter pour autant. Bien sûr, il était triste. Triste que le trio ne puisse plus exister, mais aussi triste de partir en procès contre Paul Lederman, son ancien ami.

Il continua malgré tout sa carrière et revit ses compères Bernard Campan et Pascal Légitimus dans plusieurs films.

Cinéma fantastique : l’exception culturelle française ?

Comme vous vous en doutez sûrement, cette semaine Hollywood dicte sa loi face à la production française. D’un côté, les Wachowskis reviennent avec Cloud Atlas et Sam Raimi réalise Le Monde fantastique d’Oz sous la bannière de Mickey, quand du nôtre Christian Duguay fait trembler le monde avec Jappeloup, un film épique hippique porté par l’inénarrable Guillaume Canet. Il est de bon ton de vilipender le cinéma made in USA, mais qu’a-t-on à lui opposer, concrètement ? C’est l’occasion de se pencher sur les rapports qu’entretiennent les Français avec le genre fantastique.

Impossible n’est-il pas réellement français ?

En terme de chiffres, la concurrence se résume effectivement à ces médiocres divertissements, à de rares exceptions près. Mais après tout, pourquoi s’en tenir à la loi de la réussite économique ? Se peut-il que les plus obscurs cinémas de quartier recèlent des pépites insoupçonnées, un marché noir du film fantastique à la française ? Force est d’admettre que non.

« Doit-on en conclure qu’il nous est impossible, à nous Français, de produire un cinéma de genre fantastique de qualité ? »

Car il n’existe pas à proprement parler de cinéma fantastique français. Bien sûr, au cours de l’histoire du cinématographe et comme a tenté de l’illustrer la Cinémathèque il y a bientôt un an avec son mois du cinéma fantastique français, de nombreux films tricolores sont à ranger dans cette catégorie. Cependant, on doit se rendre à la triste évidence que ces multiples tentatives, dont les réussites sont rares, ne suffisent pas à établir un genre d’exploitation, comme c’est depuis longtemps la tradition chez nos amis anglophones (aux États-Unis comme en Angleterre), mais également sur tout le continent asiatique et plus récemment en Espagne, où la production de films fantastiques est vivace et souvent de qualité.

Doit-on en conclure qu’il nous est impossible, à nous Français, de produire un cinéma de genre fantastique de qualité, et pour quelles raisons ? Il faudrait nécessairement se pencher sur la question avec plus de sérieux et de recherches pour espérer y apporter des réponses tranchées, mais nous pouvons néanmoins tenter d’en esquisser les contours et avancer certaines hypothèses.

Résumé des épisodes précédents

Pourtant, les choses s’annonçaient bien. George Méliès a instantanément compris le caractère d’illusion du cinématographe à l’orée du XXsiècle, créant d’innombrables voyages colorés au pays de l’extravagance dans son studio de Montreuil, réjouissant les spectateurs de l’époque, propulsés tour à tour sur la Lune, vingt mille lieues sous les mers ou dans les profondeurs de l’Enfer. Il sera rejoint par Gaston Velle, Segundo de Chomón et plus tard Louis Feuillade, qui à leur tour proposeront au public d’extraordinaires épopées oniriques dans un écrin de silence. À bien des égards, l’avènement du parlant a contribué à la déliquescence rapide du genre fantastique dans nos contrées. Car si les films de Méliès et de ses émules frappent aujourd’hui par leur éclatante naïveté, ils avaient pour moteur une sincère envie de divertir et d’enchanter le spectateur, ne s’encombrant pas de la pensée qu’induit le langage, a fortiori la langue française – mais nous y reviendrons.

« Dès lors, plus question d’envisager le divertissement comme une fin en soi, au risque d’être considéré comme un réalisateur de seconde zone. »

Quand nos auteurs ont enfermé le genre fantastique dans une conception poétique

Avec Le Sang d’un poète (1930), Jean Cocteau se réapproprie le genre fantastique et lui donne, aux yeux des critiques français, ses lettres de noblesse, l’enfermant ainsi dans une conception poétique de la fantasmagorie. La part proprement fantastique de cette mouvance s’estompera encore davantage avec la naissance du réalisme poétique – incarné par René Clair, Jean Vigo, Julien Duvivier ou encore Marcel Carné – qui, s’il s’inspire esthétiquement de l’expressionnisme allemand pour conférer aux films un certain lyrisme, s’emploiera à mettre le verbe au centre du film (sous la plume de Prévert, notamment). Dès lors, plus question d’envisager le divertissement comme une fin en soi, au risque d’être considéré comme un réalisateur de seconde zone.

Dans les années 1960, le cinéma français passe aux mains des fougueux réalisateurs de la Nouvelle Vague, et lorsqu’il s’agit de films fantastiques, on assiste à un glissement de la poétique vers la politique. Et malgré les immenses qualités des films réalisés à l’époque par Resnais, Godard ou Truffaut, il n’est jamais question d’abandonner les terres de la cérébralité pour s’oublier dans les étoiles. Ce n’est qu’en 1970 que Pierre Philippe, avec Midi Minuit, revisite le genre d’un cœur léger… enfin si l’on en croit le CNC, qui fait du film une œuvre emblématique du cinéma français fantastique.

La tradition du mépris

Pierre Philippe est malgré lui un symptôme de cet indécrottable mépris français à l’égard du genre fantastique. Il suffit pour s’en persuader de l’écouter parler aujourd’hui de la conception de Midi Minuit (cf. vidéo en haut de l’article). Tout d’abord, il est le papa de l’expression « cinéma bis », contraction d’une autre expression de son cru plus éloquente et pire encore : « cinéma du second rayon ». C’est-à-dire que de lui-même, le cinéaste français officiant dans le genre fantastique sans s’accabler de prétentions intellectuelles se considère comme un sous-réalisateur.

Servitude volontaire, quand tu nous tiens ! Il faut l’entendre qualifier les films fantastiques américains de l’époque et ceux de la Hammer de « tartignoles » pour achever de se convaincre que son amour prétendument sincère du cinéma fantastique est vécu comme honteux, comme une lubie de jeunesse. Car après tout, le fameux Midi Minuit est de son aveu même une « parodie de films fantastiques » et non l’hommage que certains voudraient y voir.

Un dénigrement du genre

« Cette condescendance à l’égard du genre fantastique, cette indulgence amusée, est une tradition de longue date en France. »

Mais cette condescendance à l’égard du genre fantastique, cette indulgence amusée, est une tradition de longue date en France. Si certains de nos plus grands auteurs ont contribué magistralement à l’essor de la littérature de l’étrange au XIXe siècle, de Balzac à Maupassant et Théophile Gautier, sans oublier Baudelaire et Lautréamont dans le domaine de la poésie, leurs œuvres sont moins vantées en tant que fantaisies inspirées par les écrits d’Edgar Poe ou de Hoffmann, qu’en tant qu’extrapolations symboliques et philosophiques des tourments qui agitent « l’âme humaine ». Hors de la pensée, point de salut.

La barrière de la langue

N’est-ce pas là le nœud du problème ? Cioran, ce penseur capital, a quitté sa Roumanie natale pour gagner Paris, où il abandonnera définitivement sa langue maternelle pour se convertir au français. Il confiait dans ses Entretiens : « La langue française m’a apaisé comme une camisole de force calme un fou. » C’est un fait, la langue que nous parlons façonne (et contraint) notre architecture mentale. Et lorsque celle-ci est par essence vouée aux structures claires et précises, à la raison raisonnante d’un Descartes ou d’un Rousseau, on peut concevoir qu’il soit difficile pour l’artiste français – si réceptif soit-il aux fruits d’autres cultures (anglo-saxonne, germanique, asiatique…) – de tendre vers l’abstraction et de produire à son tour de purs objets de divertissement, de raconter des histoires pour le simple plaisir de transporter, sans chercher à transmettre avant tout un message, sans travestir, singer ou détourner l’appareil fantastique de son but premier : réenchanter le monde.

« Je ne crois pas que je tiendrais aux Français s’ils ne s’étaient pas tant ennuyés au cours de leur histoire. Mais leur ennui est dépourvu d’infini. C’est l’ennui de la clarté. C’est la fatigue des choses comprises. » -Cioran

Faut il croire à une exception culturelle du désastreux cinéma fantastique français

Dans un petit livre intitulé De la France, qu’il écrit en 1941, Cioran poursuit sur ce qu’il nomme « le grandiose désastre français » : « Je ne crois pas que je tiendrais aux Français s’ils ne s’étaient pas tant ennuyés au cours de leur histoire. Mais leur ennui est dépourvu d’infini. C’est l’ennui de la clarté. C’est la fatigue des choses comprises. ». Admettons que c’est peut-être cette lucidité cruelle, ce mortel attachement aux affaires raisonnables et sérieuses, qui est l’ennemie jurée du récit fantastique. Quand les contes et légendes tiennent une place prépondérante dans la culture d’une foule de nations et constituent l’un des fondements essentiels de l’éducation, ils sont chez nous relégués au folklore. Et ce n’est pas un hasard si le mot anglais folklore (savoir du peuple), en français, ne désigne pas qu’un ensemble de traditions populaires, mais également « un aspect pittoresque mais sans importance ou sans signification profonde », et dans le langage familier quelque chose de « pas sérieux, pas crédible ». Nous avons donc affaire à une exception culturelle dans notre cinéma fantastique en partie lié à un héritage dénigrant.

Nos légendes et mythes sources d’inspiration du cinéma

Et de fait, puisque la légende enchante le monde qu’elle raconte, il faut aussi l’appréhender comme une notion géographique. Ainsi, en Écosse les châteaux sont peuplés de fantômes et les lacs de montres marins, sur les rues de Londres planent les ombres de Sherlock Holmes et de Jack l’éventreur, et les forêts de Norvège abritent mille créatures extraordinaires… une vue d’esprit à laquelle s’accordent volontiers les habitants de ces contrées, ce dont ils retirent même une profonde fierté. Les Français, en revanche, sont par tradition plus récalcitrants lorsqu’il s’agit d’évoquer Gargantua, Merlin l’enchanteur ou la bête du Gévaudan. Et cela explique sans doute en partie le ridicule dont se pare un film (au demeurant mauvais) comme Le Pacte des loups – malgré toute la bonne volonté de son auteur. Car peut-être avons-nous perdu, au fil des siècles, à force d’intellectualisation à outrance et de désintérêt pour les territoires imaginaires, la science du récit aventurier, qui semble si naturelle hors de nos frontières – les mythes sont une part constituante de nombreuses cultures étrangères.

Le manque d’audace

Au milieu des années 1990, un brûlant sursaut a lieu avec l’arrivée de Jeunet et Caro qui, en l’espace de deux longs-métrages (Delicatessen et La Cité des enfants perdus), remettent les compteurs à zéro en proposant des univers originaux et envoûtants, évoquant les folies de Terry Gilliam sans pour autant s’enferrer dans la citation, à la manière d’un Jean-Pierre Melville, qui livrait une vision très personnelle du film noir trente ans plus tôt. Hélas, de Luc Besson à Alexandre Aja, les suiveurs furent nombreux et l’essai rarement transformé, virant plutôt à la singerie postmoderne des standards américains. Le dernier exemple en date d’une véritable réussite du genre est à chercher du côté de la télévision, avec Kaamelott, œuvre géniale forgée par Alexandre Astier sur laquelle nous pourrions nous extasier longtemps, et dont nous attendons avec impatience la continuation sur grand écran…

« Difficile dans ce contexte de conclure sur une note réjouissante… »

Le cinéma fantastique une exception culturelle dans le mauvais sens du terme ?

Aujourd’hui, la situation ne semble pas en voie de s’arranger. Les quelques réalisateurs démontrant une certaine compétence dans le domaine du cinéma fantastique prennent le large pour travailler en Amérique, et les rares tentatives made in France se soldent par des échecs publics, critiques et formels embarrassants. Nous sommes prisonniers d’un cercle vicieux : les financiers rechignent par habitude à mettre la main au portefeuille pour permettre à des projets de ce type d’exister, les producteurs évitent donc soigneusement de courir le risque d’engager leur argent sur une œuvre destinée à ne jamais voir le jour dans des conditions décentes, et les auteurs s’autocensurent pour avoir une chance de pouvoir accéder au Graal du grand écran. Le cinéma fantastique français à l’instar du principe tout aussi français de l’exception culturelle est une exception de réussite !

Difficile dans ce contexte de conclure sur une note réjouissante. Il y a plusieurs semaines, nous concluions par un mot de Quentin Tarantino, qui rétorquait à un étudiant lors d’une conférence de presse donnée à l’occasion de la sortie de Death Proof que la clé de la réussite était élémentaire : il suffit d’écrire Reservoir Dogs. Seulement, on est en droit de se demander si, en l’état, notre système laisserait leur chance à des projets de cette trempe…

Source : 42mag.fr

Booster sa carrière d’acteur et de comédien avec une formation pour créer son site web internet

Vous êtes artiste, acteur, comédien … oui vous l’êtes puisque vous êtes sur CastProd et vous vous demandez comment créer son site internet ? Aujourd’hui, avoir une présence en ligne est devenu indispensable pour les artistes qui souhaitent se faire connaître et développer leur carrière. Qu’il s’agisse de comédiens, chanteurs, danseurs ou autres, se créer une identité numérique est désormais incontournable. Tenant compte de ce contexte, le fait de rajouter à ses compétences, la capacité de créer et d’administrer son site web peut parfaitement faire sens.


Une formation permettant d’acquérir toutes les compétences nécessaires pour concevoir son propre
site vitrine et le gérer de A à Z. Au programme : apprentissage du moteur de site le plus populaire du
monde, le référencement naturel, utilisation des réseaux sociaux, analyse des statistiques… De quoi
maîtriser parfaitement sa communication en ligne. C’est très exactement ce que propose l’organisme
de formation numérique CNFN
, organisme reconnu par l’État et qui est spécialisé dans le digital.


Nous allons voir en détail dans cet articles, les bénéfices pour un comédien de posséder son propre
site internet. Nous expliquerons également les avantages de gérer soi-même sa plateforme plutôt que
de la déléguer à un prestataire. Enfin, nous verrons que cette formation certifiante peut être financée
grâce au Compte Personnel de Formation (CPF).

L’intérêt d’avoir son propre site web en tant qu’acteur


Posséder son propre site internet présente de nombreux avantages pour un comédien qui veut passer des castings. C’est l’occasion de se créer une véritable identité professionnelle en ligne et d’avoir une vitrine pour mettre en valeur ses talents. Sur son site, l’acteur peut tout d’abord présenter son parcours et ses expériences de manière détaillée :

  • ● formation
  • ● compétences
  • ● pièces de théâtre
  • ● films
  • ● etc…


Il peut y ajouter des photos et vidéos pour donner un aperçu de son travail.


Le site permet également de partager facilement du contenu comme des démos ou teasers,
essentiels pour démarcher des directeurs de castings. L’acteur peut aussi y publier des actualités
comme les prochains spectacles et tournages auxquels il participe.


Enfin, le site web offre une plateforme idéale pour interagir avec ses fans, répondre à leurs messages
et les tenir informés de l’avancée de sa carrière.

Créer son site internet de comédien


En plus de présenter son parcours et ses expériences, il est indispensable pour un comédien de savoir créer son site web internet.


Celui-ci permettra de mettre en valeur ses talents à travers différents supports : photos, vidéos de jeu,
démos audio, etc. Le portfolio est un élément clé pour se démarquer auprès des directeurs de
casting.


Sur son site, l’acteur peut donc créer une section dédiée à son portfolio et y exposer ses meilleures
photos de scène, de plateau, de studio… Celles-ci doivent être de bonne qualité et variées.
Il peut également intégrer des extraits vidéo de ses performances théâtrales ou cinématographiques.
Ces teasers constituent la vitrine de son jeu d’acteur. Des démos audio pourront aussi être ajoutées
pour les doublages ou voix off.


Bien présenté et régulièrement mis à jour, le portfolio en ligne aidera l’acteur à se faire repérer par les
bonnes personnes. C’est un atout de poids qu’il ne faut pas négliger dans sa stratégie de
communication sur internet.

Créer sa communauté de fans sur le web


Autre intérêt majeur d’avoir son propre site web : cela permet de commencer à se constituer une
véritable communauté de fans.
Grâce aux réseaux sociaux intégrables sur le site, l’acteur peut développer sa notoriété et faire
grandir le nombre de ses abonnés. Ces fans pourront ensuite être redirigés vers son site personnel.


Sur sa plateforme, l’acteur peut proposer à ses followers de s’inscrire à une newsletter pour les tenir
au courant de l’actualité de sa carrière. Il peut également interagir avec eux via un forum ou des
commentaires.


Ces échanges réguliers sont précieux pour entretenir une relation privilégiée et fidéliser les fans. Ils
participent à la promotion des projets de l’acteur en les partageant autour d’eux.
Bâtir sa propre communauté prend du temps, mais cela peut s’avérer payant sur le long terme grâce
au bouche à oreille. Le site web en est la pierre angulaire.

Les avantages de gérer soi-même son site de comédien


S’il est tentant de déléguer la gestion de son site web à une agence, l’idéal est que l’acteur puisse le
gérer de A à Z par lui-même.


Cela lui permet de garder la main sur sa communication en ligne et de véhiculer l’image désirée. Il
peut ainsi mettre à jour son contenu régulièrement avec ses actualités, sans dépendre d’un
prestataire. Gérer lui-même son site offre également la possibilité d’interagir facilement avec ses fans
via les commentaires ou les réseaux sociaux. L’acteur garde ainsi ce contact privilégié avec son
public. Enfin, avoir la main sur l’analytics de son site est un avantage précieux. Analyser les
statistiques de fréquentation permet de mieux comprendre les attentes des visiteurs et d’optimiser le
contenu en conséquence.

Le financement de la formation via le CPF pour créer son site internet de comédien


La formation en création de site web proposée par le CNFN présente un avantage de taille: elle est
éligible au financement via le Compte Personnel de Formation (CPF).


Pour rappel, le CPF permet à toute personne active d’accumuler des heures de formation pour
financer des formations certifiantes
. La formation du CNFN étant certifiante, elle rentre dans ce cadre.
Concrètement, l’acteur souhaitant suivre cette formation doit dans un premier temps vérifier le
nombre d’heures disponibles sur son CPF. S’il ne dispose pas de suffisamment d’heures, il peut en
demander l’abondement auprès de l’Afdas.


Une fois le nombre d’heures suffisant, il doit s’inscrire à la formation sur le site du CNFN et faire sa
demande de prise en charge financière via le CPF sur la plateforme MonCompteFormation.Gouv.fr.
L’avantage est que l’acteur n’a aucuns frais à avancer. Le coût pédagogique de la formation est réglé
directement par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC). Une aide au financement des frais
annexes peut aussi être demandée.


Posséder son propre site web (mais plus encore, de l’administrer soi-même) est aujourd’hui un
véritable atout pour lancer et développer également sa carrière d’acteur. La formation certifiante en création de site web du CNFN permet d’acquérir toutes les compétences nécessaires pour gérer sa plateforme de A à Z. Le financement via le CPF rend cette formation accessible à tous les comédiens. Alors n’hésitez plus et devenez en outre le community manager de votre carrière !

L’actrice et comédienne Bérénice Bejo

Bérénice Bejo est une comédienne et actrice franco-argentine, née le 7 juillet 1976 à Buenos Aires.

Elle fuit la dictature en Argentine avec sa famille quand elle a trois ans et s’installe en France. Son père, réalisateur, lui transmit son amour pour le cinéma et l’initia très tôt, en l’inscrivant à des cours de théâtre. Bérénice Bejo raconte que petite, tous les samedis, elle s’installait confortablement avec sa famille à regarder un des milliers de films de la collection de son père. Puis, quand elle vit « Singin’ in the rain » de Stanley Donen et Gene Kelly, elle eut un vrai déclic.

Formation et carrière de la comédienne et actrice Bérénice Bejo

Elle suivit un bac C, avec une option facultative en théâtre. Ses premières apparitions devant la caméra furent dans des petits courts métrages.

Sa carrière décolla réellement avec le film « Meilleur Espoir féminin » de Gérard Jugnot où elle tint le rôle principal. Rôle qui, ironiquement, lui permis d’être réellement nommée au César du meilleur espoir féminin.

Elle enchaîna ensuite les succès populaires, comme « OSS 117 : Le Caire, nid d’espions ». Elle y rencontra l’acteur Jean Dujardin et le réalisateur Michel Hazanavicius, avec qui elle collabora à nouveau par la suite.

Un rôle muet qui fait du bruit

Elle les retrouva avec, à tout hasard, un certain film en noir et blanc sortit en 2012. « The Artist », ça vous dit quelque chose ? C’est vrai qu’il n’a pas eu beaucoup de succès, aucun prix prestigieux, et à peine une centaine de personnes en salle…

Blague à part, « The Artist » est un des films français les plus connus dans le monde. Bérénice Bejo reçut le César de la meilleure actrice et fut nommée à l’Oscar de la même catégorie. En tout, le film reçut 204 nominations et remporta 162 récompenses à travers le monde, dont cinq Oscars.

Après The Artist

Bérénice Bejo confirma alors son talent et sa place parmi les actrices françaises importantes. Elle enchaîna avec d’autres films à succès, comme « Au bonheur des ogres », « The Search » ou « Le Redoutable ». Les deux derniers étant aussi d’Hazanivicius. Elle tint aussi un rôle dans « L’Extraordinaire Voyage du Fakir » de Ken Scott.

Elle retrouva encore Hazanavicius pour « Le Prince oublié » où joua aussi Omar Sy, et plus récemment dans « Coupez ! ».

Dans quels films a joué l’actrice et comédienne Bérénice Bejo ?

Bérénice Bejo actrice et aussi comédienne a joué dans de nombreux films dont voici une filmographie sélective.

  • Les soeurs Hamlet
  • Meilleur Espoir féminin
  • OSS 117 : Le Caire, nid d’espion
  • La Traque
  • The Artist
  • Populaire
  • Au bonheur des ogres
  • The Search
  • L’Enfance d’un chef
  • Le Redoutable
  • L’Extraordinaire Voyage du Fakir
  • Le Prince Oublié
  • Coupez !
  • Un dragon en forme de nuage
  • Sous le tapis

L’actrice et comédienne Béatrice Dalle

Béatrice Dalle est une comédienne et actrice de cinéma française née le 19 décembre 1964 à Brest.

De son vrai nom Béatrice Cabarrou, elle est issue d’un milieu modeste. Sa mère est femme au foyer et son père fusilier marin, avant de se reconvertir en mécanicien.

Elle dit elle-même que si elle avait grandit dans une famille aisée, elle ne serait sûrement jamais devenue actrice : « Quand tu n’as rien, tu as forcément les crocs… j’ai tellement faim de tout… »

Carrière de la comédienne et actrice Béatrice Dalle

S’il y a bien un terme qui illustre bien le personnage qu’est Béatrice Dalle, c’est celui de « punk ». Non pas forcément pour son look, mais pour son caractère.

Elle fugue parfois de chez elle, notamment pour aller à Paris. Elle rejoint le mouvement de Sid Vicious et arpente les rues de la capitale où, clairement, sa beauté ne reste pas inaperçue.

Effectivement, un photographe la repère. Elle pose pour lui.

Un matin, en ouvrant son magazine, l’Agent artistique Dominique Besnehard la découvre et est tout de suite envoûté par elle. Il la contacte et lui propose de tenir un rôle dans son prochain film, « 37°2 le matin ».

Quelques mois après avoir accepté, Béatrice Dalle reçoit une nomination au César de la meilleure actrice.

Sa carrière lancée, elle s’oriente vers un cinéma d’auteur. Elle côtoie de grands noms, comme Claire Denis, Jim Jarmusch, Jacques Doillon, Virgine Despentes,…

Dans quels films a joué Béatrice Dalle

Béatrice Dalle actrice et comédienne a joué dans de nombreux films, vous trouverez sa filmographie ci-dessous :

  • 37°2 le matin
  • Chimère
  • Night on Earth
  • La Vengeance d’une femme
  • J’ai pas sommeil
  • À la folie
  • Trouble Every Day
  • 17 fois Cécile Cassard
  • H Story
  • La Porte du soleil
  • Tête d’Or
  • À l’intérieur
  • Les Bureaux de Dieu
  • Jimmy Rivière
  • Livide
  • Bye, bye, Blondie
  • Le Renard jaune
  • Les Rencontres d’après minuit
  • The Happy Prince
  • La Vertu des impondérables
  • L’amour c’est mieux que la vie
  • La Bête dans la jungle

L’acteur et comédien Lucas Bravo

Lucas Bravo est un comédien et acteur de cinéma né à Nice le 26 mars 1988.

Sa mère, Eva, une chanteuse et animatrice télé en Italie. Son père, Daniel Bravo, un ancien footballer de l’équipe de France.

Fils du footballeur Daniel Bravo

Dû à la carrière de son paternel, il a dû voyager de ville en ville, de région en région, voir de pays en pays. Une fois à Toulouse, puis après à Paris, ensuite à Marseille, en passant par Parme. Il lui a fallut s’adapter, mais surtout s’ouvrir aux autres.

Daniel ne voulait pas que son fils devienne footballer comme lui, il connaissait les travers du métier. Et au lieu de le gâter, il lui a appris à toujours travailler et à se débrouiller pour avoir ce qu’il voulait.

Alors, voulant devenir comédien depuis ses 10 ans, il fit ses valises et parti seul pour l’Amérique à 17 afin de suivre des cours de théâtre.

Carrière du comédien et acteur Lucas Bravo

Absence de visa oblige, il rentra en France au bout de trois ans. Il eut quand même largement le temps de se perfectionner et d’apprendre l’anglais, ce qui lui fut très utile pour la suite de sa carrière.

Toutefois, avant de percer, il contacta différentes agences et fit du mannequinat, tout en écumant les castings. Jouant dans des pubs, il apparu à la télé tantôt pour l’Oréal, tantôt pour Chanel.

Bien que petit, son premier rôle marquant fut dans le film  » La Crème de la crème  » de Kim Chapiron. Il enchaîna l’année suivante avec  » On voulait tout casser  » avec Kad Merad, mais son personnage n’est même pas nommé.

Il tourna aussi pour la série, comme acteur Plus Belle la Vie « .

Mais bien sûr, ce n’est pas pour ces rôles-là qu’il est devenu connu. Non, loin de là, même. Non, si tout le monde le connaît, c’est bien sûr grâce à la série Netflix  » Emily in Paris « .

Il y incarne, depuis 2020, Gabriel. Jeune chef du restaurant  » Les Deux compères « , il est le voisin d’Emily Cooper, dont il est aussi amoureux.

Actualité de Lucas Bravo

Nous aurons la chance de retrouver prochainement Lucas Bravo sur Amazon Prime Video. Il jouera le rôle principal dans le film Sulak de Mélanie Laurent.

Véritable

Véritable Arsène Lupin des années 80, Bruno Sulak était un braqueur hors pair, devenu l’ennemi public numéro un quand il s’évada de prison pour rejoindre son amante.

des années 80, Bruno Sulak était un braqueur hors pair, devenu l’ennemi public numéro un quand il s’évada de prison pour rejoindre son amante.

L’actrice et comédienne Leïla Bekhti

Née le 6 mars 1984 à Issy-les-Moulineaux, Leïla Bekhti est une comédienne et actrice française et algérienne.

Jeune, elle achetait souvent le magazine Casting. Non pas qu’elle voulait forcément en faire, mais simplement par curiostié. Elle voulait voir si des annonces lui correspondaient, sans pour autant s’y inscrire quand c’était le cas.

Au lycée, elle fit un bac L option théâtre, avant de s’inscrire – apparemment sans grande envie – à une fac où elle suivit des cours d’art-thérapie.

Formation et carrière de la comédienne et actrice Leïla Bekhti

Elle ne participait pas beaucoup aux cours de théâtre auxquels elle s’était inscrite à Paris. Non pas qu’elle trainait et ne faisait rien, mais elle travaillait. Effectivement, à cette époque, Leïla Bekhti enchaînait les petits jobs.

Leïla Bekhti s’inscrivit toutefois à l’école Stéphane-Gildas.

Puis, encouragée par ses amis, elle participa au casting d’un film. « Sheitan », de Kim Chapiron. Et, contre toutes attentes, elle est choisit pour le rôle principal féminin.

À peu près 300 000 personnes sont allés voir ce film qui devint ensuite culte, et un des longs métrages phares du collectif Kourtrajmé.

Un autre grand réalisateur, Alain Tasma cette fois-ci, la dirigea pour le téléfilm « Harkis », écrit par Arnaud Malherbe et Dalila Kerchouche et notamment adapté d’un livre de cette dernière.

Rencontre avec Géraldine Nakache

S’il y a bien un nom qu’on associe facilement à celui de Leïla Bekhti, c’est Géraldine Nakache. Cette dernière repéra Leïla dans le film « Mauvaise Foi ». Elle la contacta pour son premier long métrage, qu’elle co-réalisa avec Hervé Mimran, « Tout ce qui brille ». Et là, ce fut le début de la gloire, mais surtout le début d’une grande amitié.

On peut par exemple trouver encore sur YouTube des vidéos amateurs tournées par les deux actrices, où parfois elles chantent (faux) des classiques français, ou bien improvisent des sketches, juste pour le délire.

Elles se rencontrèrent en 2006, et il fallut quatre ans pour que sorte « Tout ce qui brille ». Le film eut un immense succès et lui permis de soulever le César du meilleur espoir féminin en 2011.

Elle et Géraldine jouèrent ensemble dans de nombreux autres projets, comme « J’irai où tu iras », « La Flamme » et également sa suite « Le Flambeau » et « Nous York ».

Suite de la carrière de Leïla Bekhti comédienne et actrice

Leïla Bekhti fut nommée à plusieurs reprises aux Césars. Il y eut par exemple son interprétation dans le film « La Source des femmes », sur des femmes quelque part au Moyen-Orient ou en Afrique du Nord qui font la grève du sexe jusqu’à ce que les hommes, inoccupés, acceptent d’aller chercher de l’eau eux aussi à la rivière. Jusqu’alors, c’était une tâche qui leur incombait à elles, mais le chemin est long et dangereux – au début du film une femme enceinte a même un accident et fait une fausse-couche.

En plus de sa nomination aux Césars, Leïla Bekhti fut aussi nommée aux Globes de Cristal, et le film fut présenté à Cannes.

Dans quels films et séries a joué Leïla Bekhti ?

  • Tout ce qui brille
  • Nous York
  • J’irai où tu iras
  • La Flamme
  • Le Flambeau
  • La Source des Femmes
  • Sheitan
  • La Lutte des classes
  • Comment je suis devenu un super-héros
  • C’est mon homme
  • Les Intranquilles
  • Je verrai toujours vos visages
  • Nous trois ou rien
  • La Troisième Guerre
  • Harkis
  • Serge le Mytho

L’actrice et comédienne Leila Bekhti termina aussi sur le podium de la saison 3 de l’émission Lol qui rit sort sur Amazon Prime Video.